02/06/2010

Le volume I des « Paradoxes des menteurs » porte sur la logique, la littérature et les théories du paradoxe. Si le mensonge était comparé à un pays plein de marécages et de sables mouvants, certains voyageurs réclameraient une carte sûre à 100 % pour le traverser, tandis que d’autres se contenteraient d’une représentation fiable à 30 ou 60 %, ou déclareraient toutes les cartes menteuses. Ces deux options sont ici à l’œuvre et sont représentées par les deux pôles incarnant une « pureté » inversée : la logique pure et la littérature pure, et sont l’œuvre de figures comme Tarski, Valéry, O. Wilde, René Girard, Chateaubriand, Manganelli, Vargas Llosa, parmi d’autres. Ce parcours finit sous la double rencontre de G. Deleuze et M. Blanchot, autour d’une autre rencontre – celle du paradoxe et de la contradiction.

volume I des « Paradoxes des menteurs » porte sur la logique, la littérature et les théories du paradoxe. Si le mensonge était comparé à un pays plein de marécages et de sables mouvants, certains voyageurs réclameraient une carte sûre à 100 % pour le traverser, tandis que d’autres se contenteraient d’une représentation fiable à 30 ou 60 %, ou déclareraient toutes les cartes menteuses. Ces deux options sont ici à l’œuvre et sont représentées par les deux pôles incarnant une « pureté » inversée : la logique pure et la littérature pure, et sont l’œuvre de figures comme Tarski, Valéry, O. Wilde, René Girard, Chateaubriand, Manganelli, Vargas Llosa, parmi d’autres. Ce parcours finit sous la double rencontre de G. Deleuze et M. Blanchot, autour d’une autre rencontre – celle du paradoxe et de la contradiction.